Claude THEBAULT DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE PARIS*

Le 11 janvier 2019, Claude Thébault , déjà condamné* , devra comparaître devant le Tribunal de Grande Instance de Paris. Il devra s’expliquer sur ses multiples écrits diffamatoires (sauf renvoi de l’affaire)

Mis en demeure à plusieurs reprises de cesser son harcèlement, ses diffamations et ses insultes et de supprimer les contenus calomnieux et discriminatoires à l’encontre de nombreux praticiens des arts divinatoires, de l’association INAD, son président et de ses membres, Claude Thébault a cru bon de continuer, voire redoubler ses écrits nauséabonds. Outre les insultes et autres mensonges, ce personnage a publié, sans autorisation, de nombreux jugements tronqués et/ou modifiés, allant jusqu’à affirmer que la justice serait instrumentalisée par l’INAD, semant le doute est la confusion dans l’esprit de certains .

Plus grave encore, il jette ainsi le discrédit sur la probité de hauts magistrats français, nommément désignés, remettant ainsi en cause des décisions souveraines dans des actions entreprises par l’INAD et d’autres tiers. Obnubilé par sa haine de l’Inad parce que nous avons refusé de publier ses « écrits orduriers » envers des tiers, cet homme n’hésite pas à proposer ses conseils irresponsables à un avocat et à certains praticiens pour intenter des actions à l’encontre de l’INAD.

Quand d’autres utilisent leur fortune pour aider leurs contemporains, Claude Thébault consacre son argent à assouvir sa haine des autres, au point de tourner en rond comme un vieux disque rayé.

Claude Thébault, dans son délire paranoïaque, écrit :  - « - …. Le juge X ** mélangeait, allégrement les pinceaux, en reconnaissant aux présumés clients factices de Y d’exprimer des réclamations, artificiellement bidonnées auprès de l’adresse internet d’un non professionnel, l’inad, dépourvu d’obligation légale,… La loi n’est plus la loi. On assistait à une nouvelle version de Borsalino, sans les dialogues de Michel Audiard, sur une adaptation de scénario du juge X. Y compris dans le film Flic ou Voyou, le commissaire de police explique aux malfrats que sa ligne de conduite c’est le respect de la loi, et non la négociation d’un compromis historique avec la pègre. Ce qui est le cas de l’ordonnance du 30 juin 2016…

  • L’ordonnance du juge X est non seulement illégale dans son contenu, car elle viole l’ordre public de la transparence précontractuelle, mais elle est aussi nulle. Car l’ordonnance du juge X constitue un grave manquement à l’ordre public de l’information due au consommateur. L’inad n’a pas qualité légale à se substituer à un professionnel pour assurer, à sa place, une obligation légale de transparence OBLI-GA-TOIRE. L’inad n’a pas dans son objet social déclaré en préfecture “se substituer à l’obligation légale des professionnels dans l’expression du droit de réclamation.” Contrairement à ce que jugeait le président X, il y avait matière à référé par application de l’article 808 du code de procédure civile. Il est urgent de faire respecter l’ordre public, en constatant que la publication, par l’Inad, de commentaires trafiqués, fictifs et malveillants, sur Y.. ;porte atteinte à son obligation de traitement des réclamations de sa clientèle. Le juge X oubliait, opportunément le texte de l’article 6 du code civil délimitant son pouvoir…”

N’ayant visiblement pas grand chose à faire de sa vie, Claude Thébault n’a pas hésité à rechercher et contacter d’anciennes victimes aidées par l’Inad, à les jeter en pâture à la curiosité publique afin de leur proposer ses services de ‘’conseiller juridique’’. Des « bons conseils » délirants tels que par exemple assigner en justice l’Ambassadeur des États Unis en France et ou dénoncer au Procureur de la République un haut magistrat , président de Tribunal d’une grande juridiction , ayant relaxé 2 professionnelles .

Il a même rédigé une plainte délirante à l’encontre de l’Ambassadeur des États Unis, dans l’espoir que l’INAD l’envoie au Procureur de la République. Ce que nous avons refusé de faire, cela va de soi. D’où une rancœur profonde contre l’INAD, son président , ses membres et à l’encontre d’un grand nombres de praticiens , d’avocats … qu’il n’hésite pas à calomnier , injurier, diffamer …

Nous tenons à préciser que nous avons entrepris plusieurs actions judiciaires à l’encontre de cet individu.

Pour en savoir un peu plus sur ce ‘‘personnage’’ , nous vous invitons à lire ou à relire l’article que nous lui avions consacré, cliquez sur le lien suivant : https://inad.info/blog/juridique/648-le-pervers-narcissique

Dans cette affaire, la défense des intérêts de l’INAD, de son Président et de ses membres a été confiée à Maitre Stanislas Panon, avocat au Barreau de Paris.

  • l’audience du 26 octobre 2018 avait été reportée ** Le nom du Président du Tribunal et celui du professionnel (le) ont été ananomysés
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