A propos de l’Institut national des arts divinatoires

L’Institut national des arts divinatoires (INAD) est une association loi de 1901, paru au journal officiel le 25 novembre 1987, sous le n° 141279801/695149.

Son siège social est situé au :

INAD 8, rue de Nesle 75006 Paris et ses bureaux au :

INAD 148, rue du faubourg Saint Denis 75010 Paris

Ce Site Internet est hébergé par l’entreprise Heroku (https://www.heroku.com/contact). Son siège social est situé au 650 7th Street San Francisco, CA 94103.

Historique

L’INAD est fondé en 1987, sur l’initiative de Youcef Sissaoui avec la collaboration de Messieurs : Jacques Bonnaud, Francis Clément et de Maîtres Alain Stutz et Michel Dughet (avocats).

Rôle

L’Institut National des Arts Divinatoires (INAD) est à l’origine de la première Charte Morale et Professionnelle de nature à satisfaire Praticiens et consultants. Cet organisme est indépendant de tout groupement de cabinets ou de professionnels, et a pour rôle l’information du public et des consultants-consommateurs en général sur les limites et champs d’application des arts divinatoires, y compris sur les pratiques dites occultes exercées par certains professionnels…

L’INAD soutient les consommateurs, victimes de toutes sortes de ces activités, et plus généralement toutes activités annexes et complémentaires : recueil des plaintes, conciliation, recours juridiques de l’association si nécessaire pour soutenir les clients - consommateurs, plaignants - victimes de manœuvres frauduleuses de certains professionnels des arts divinatoires.

L’INAD intervient toujours dans la mesure du possible en qualité de compositeur amiable entre les parties pour régler les problèmes mettant en cause un professionnel ou le cabinet pour lequel il travaille. C’est ainsi que des dizaines de dossiers portant sur des centaines de milliers d’euros ont été traités à l’amiable, dans la discrétion la plus totale.

L’INAD connaît, grâce aux consultants/plaignants d’une part, et à l’enquête qu’il mène d’autre part, la valeur réelle, supposée ou surfaite des professionnels de la voyance, de l’astrologie…

L’INAD informe également les praticiens sur leur droit et devoir vis-à-vis des consultants et des administrations concernées…

L’INAD s’évertue à redonner à l’exercice des arts divinatoires la place qui lui revient. Grâce à ses membres fondateurs, la pertinence de ses collaborateurs (adhérents, avocats, journalistes, psychiatres, psychanalystes…) et la part de générosité de ses bénévoles, l’INAD mène des actions fortes, positives et remplit une mission d’utilité publique.

Depuis 1987, l’INAD s’emploie à lever « l’ombre » qui pèse sur les arts divinatoires et à faire « la lumière » de sorte que chaque consultant, praticien, curieux intellectuel puisse établir des éléments de référence favorisant ainsi une approche basée sur la transparence.

Département consommateurs L’information, la prévention et la protection du consommateur Pour combler le vide juridique qui entoure les arts divinatoires, palier à l’absence de règlementation de la profession, afin de protéger les consultants consommateurs de toutes formes d’abus et de publicités mensongères, l’INAD encadre l’exercice de ces métiers en instituant un registre des professionnels qui s’engagent sur l’honneur à respecter les règles déontologiques énoncées dans ladite charte. Cette liste est adressée à toute personne qui en fait la demande. Elle est en toutes circonstances un point de repère et une référence pour les clients – consommateurs qui peuvent s’interroger, en toute légitimité, sur les compétences réelles ou supposées de certains praticiens. L’INAD contribue ainsi à l’instauration de relations sans équivoque entre les consommateurs préoccupés de leur avenir et des praticiens dignes de confiance, dont les compétences seraient reconnues.

Département professionnels La carte professionnelle

…La profession des arts divinatoires est une profession de service, de nature civile et libérale, qui n’implique pas son immatriculation au registre du commerce et des sociétés, selon les services du ministère du travail, sauf, bien entendu, lorsqu’elle est exercée sous la forme de société (…) et ne ressort pas plus des métiers traditionnels de l’artisanat (…) cette activité économique appelle une immatriculation au répertoire SIRENE, tenu par l’INSEE… concernant les normes, de qualité et des prestations qu’il revenait à la profession de promouvoir - en cas de besoin - les certifications qui lui apparaîtront opportunes (…).

A cet effet, l’INAD est à l’origine de la première charte morale est professionnelle et déontologique qui contient des règles dont les adhérents s’engage par écrit à les respecter scrupuleusement sous peine d’en être exclu. Les principes fondamentaux de cette charte sont la loyauté, la sincérité, une tarification honnête et correspondant à toute consultation d’un homme de l’art possédant un savoir et qui doit tarifer à l’avance dans des proportions raisonnables et à la portée de tous. .

Ladite Charte prévoit également l’exclusion de toute pratique ésotérique n’ayant aucun rapport avec la réalité tel que : magie, sorcellerie, maraboutage, envoûtement… dont le but est de dépouiller les honnêtes par la manipulation mentale, la peur et l’angoisse.

Le service juridique

La profession des arts divinatoires n’étant soumise à aucune règlementation spécifique, elle se retrouve inéluctablement subordonnée à la propagande mensongère de certains pseudo-professionnels exerçant en dépit du bon sens voire en toute impunité. L’INAD centralise les plaintes, soutient moralement et juridiquement les victimes d’abus et ou d’escroqueries avec la collaboration d’avocats qualifiés, dans le cas et dans le cas seulement ou sa médiation de compositeur amiable échoue. Par l’entremise de l’INAD, des dossiers de clients abusés ou mécontents portant sur des centaines de milliers d’euros ont été traités à l’amiable dans la discrétion la plus totale.

L’INAD est également consulté par divers organismes et les services de l’état : presse écrite, parlée, télévisée, police, justice, gendarmerie nationale.

Polémique

Il lui est en réalité principalement reproché, selon l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), d’être à la fois juge et partie, d’offrir un “label” pour les bons voyants, ceux qu’elle sélectionne. Et aussi de laisser croire qu’il existe ainsi une base sérieuse à la voyance et aux arts divinatoires.

Contrairement à ce qui est affirmé par l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), l’INAD n’est pas une organisation de devins mais une association (à but non lucratif) pour l’information, la protection des consommateurs et la moralisation de la profession. Qui peut prétendre aujourd’hui interdire la foi, les croyances ou la spiritualité ? Si l’espoir fait vivre, le désespoir « tue ».

Selon l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), la simple existence d’une organisation professionnelle de devins, qui communique sur son souci de protection des consommateurs contre des charlatans, escrocs et autres personnes peu recommandables qui encombreraient la profession, signe l’affirmation simultanée qu’il pourrait y avoir un quelconque fondement aux « arts divinatoires » (suivant la liste de l’institut : médiumnité, voyance avec ou sans support, astrologie, chiromancie, cartomancie, parapsychologie médiumnique, recherche radiesthésique, numérologie, marc de café, tâches d’encre….)

Pour l’INAD,

Il ne s’agit plus de s’interroger, aujourd’hui, sur l’existence ou la non existence des phénomènes paranormaux, mais de faire face à une situation qui engendre des milliers d’escroqueries et autant de drames individuels sur le dos d’une population en détresse sociale ou psychologique. Et ce, en jouant sur la manipulation mentale la peur les frustrations et le manque d’informations au public sur la nature des actes divinatoires.

Justice

Certains de ses détracteurs : des professionnels et cabinets de voyance douteux et affairistes notoires, ayant mis en cause l’honnêteté de l’INAD, se sont vus condamner pour diffamation et le jugement rendu par la Cour d’appel en faveur de 2 autres cabinets responsables de graves abus a été purement et simplement annulé et cassé sans renvoi par la Cour de Cassation. Le Président de l’INAD a toujours été mis hors de cause.

Ses initiatives et interventions sont multiples.

La charte morale de l’INAD

Afin de moraliser et d’assainir la profession, d’agir sur les méfaits quotidiens de certains professionnels qui transgressent la loi, l’INAD propose à l’ensemble de la profession et en particulier aux praticiens honnêtes et sérieux une Charte Morale et Professionnelle. Ladite charte est un véritable code de déontologie de nature à satisfaire consultants et praticiens. Appliqué et respecté ce code est en mesure d’offrir une garantie contre les excès et les débordements abusifs de certains qui discréditent la profession.

Magazines INAD-Consommateurs et Destins ombres & lumières

L’INAD a publié périodiquement INAD-Consommateurs et Destins – Ombres et Lumières, deux magazines d’information et de prévention spécialisés dans le domaine des arts divinatoires. Dans ces magazines, de nombreux sujets ont été traités et en particulier des histoires vécues par les clients – consommateurs qui font appel, régulièrement ou épisodiquement, à certains pseudo-professionnels en travaux occultes, passés (es) maîtres dans le domaine des menaces et du chantage. Ces magazines ont permis aux lecteurs en général et aux consommateurs en particulier de découvrir des sujets passionnants, des mises en garde judicieuses, des conseils pour régler les litiges et permettre aux victimes de certains professionnels de recourir, le cas échéant, à la justice.