David MOCQ: parole de voyant

Le 10 février 2016, je reçois un email d’une dénommée Marla, qui se présente comme étant’’ rédactrice’’ pour un guide et ‘‘reporter’’ pour un magazine. Elle mentionne qu’elle est en cours de rédaction d’un guide des meilleurs voyants, médiums, astrologues et tarologues de France , devant paraître 3 semaines plus tard. Elle dit clairement souhaiter m’interviewer et me demande de lui fournir 2 photographies et de bien vouloir répondre aux questions d’un formulaire. S’ensuit un bref échange de mails se soldant par un refus de ma part à paraître dans ce livre. J’écris d’ailleurs clairement -noir sur blanc- que je ne les autorise pas à faire figurer mon nom dans ce bouquin. Ayant pris soin de me renseigner au préalable sur le modus operandi lié à l’approche de la procédure de classement et ayant jugé tout cela peu sérieux et manquant de crédibilité…

J’ai ensuite rédigé sur mon site Internet ( www.davidmocq.com ) quelques paragraphes évoquant cette expérience. Ce texte venait prolonger un article déjà existant depuis longtemps et dont le sujet était relatif aux guides et aux meilleurs praticiens de la voyance. Cet ajout m’a semblé opportun. Ni plus ni moins. Je n’étais animé d’aucune animosité. L’objectif, comme toujours dans mes écrits sur Internet depuis 1997, était d’informer, de mener une réflexion de fond et non destinée à nuire à qui que ce soit. Quelle ne fut pas ma première surprise de découvrir dans la foulée la parution d’un article diffamatoire -me mettant gravement en cause- dans une ‘‘revue’’ auto éditée de leur crue.

Quelle ne fut pas ma seconde surprise de découvrir l’apparition « mystérieuse » de plusieurs avis négatifs me concernant sur Internet. Ces avis reprenaient des extraits de l’article de la pseudo revue et des liens vers celle-ci étaient mentionnés afin de permettre une lecture entière et me porter ainsi un préjudice… Une page « dédiée » fut élaborée spécialement « pour mon cas » et apparemment, un soin particulier semblait avoir été appliqué afin d’apposer mon nom « David Mocq » un peu partout (c’était d’ailleurs le titre de la page !)

Au début du mois de juin dernier, j’ai mandaté une avocate ( Maître Murielle Cahen ) afin de faire cesser ce trouble, en sommant une dénommée Alice de modérer les commentaires irresponsables publiés sur son blog. Je me suis rapproché de l’INAD et bien que je ne sois pas un membre adhérent, l’Institut National des Arts Divinatoires pris ma défense, comme il le fait, depuis sa création, pour des milliers des consommateurs et de professionnels qui font appel à ses services, ou à son département juridique. A la suite de son intervention amiable (copie en ma possession), curieusement et contre toute attente, l’institut et son président furent également pris à partie par la mystérieuse association, affirmant bénéficier de la reconnaissance de l’état de New York (sic)

Nul n’est besoin de préciser que ces invectives ordurières, la discrimination, la diffamation, cette incitation à la haine, adressées par ce ‘‘mystérieux organisme’’ de New York à 113 praticiens relevaient d’une irresponsabilité totale. Il s’agissait d’accusations graves, malhonnêtes et scandaleuses usant d’un procédé similaire à celui dont je fus moi-même victime. L’institut National des Arts Divinatoires (INAD) est reconnu par des centaines de milliers de clients consommateurs et par la plus grande majorité de la profession, sa notoriété est publique. L’INAD est connu pour son impartialité, son intégrité, son équité et son sens de la défense des client(e)s victimes d’escroqueries diverses à la voyance et aux arts divinatoires. L’INAD « défend » et « préserve » également les intérêts des professionnels qui font appel à ses services. La droiture et l’impartialité de l’INAD étant notoires, il m’a semblé naturel de solliciter son aide au début du mois de juin.

Le fait que l’INAD ait pris -sans conditions- ma défense PROUVE DE FAIT la noblesse de ses actions. Mon article initial a mis en évidence une certaine problématique. L’Institut National des Arts Divinatoires et son président m’ont suivi et défendu. A part l’INAD, je n’ai trouvé personne dans le milieu de la voyance pour me soutenir ! L’important dans cette affaire, ce n’est pas ma propre personne, car je m’efface devant la cause que je défends depuis toujours. L’important est de défendre -justement- une cause. Pour ma part, il s’agit d’expliquer ce qu’est véritablement la voyance (la vraie), ce qu’il est raisonnablement possible d’attendre d’une consultation de voyance. Cela, bien entendu, en tendant à ne pas trahir mes propos en pratique, en effectuant les meilleures prestations et cela le plus souvent possible. Pour ce qui est de l’INAD, la cause défendue est clairement étayée dans ses statuts. L’engagement de l’Institut National des Arts Divinatoires est total. Sa réaction face à la situation décrite dans cet article confirme -de fait- son absence de motivation pécuniaire envers les praticiens sérieux qu’il défend, d’autant plus s’ils sont membres. Son attitude confirme également son positionnement en tant qu’acteur essentiel et crédible de la défense des « consommateurs »

Quel est l’état des lieux de certains sites de voyance sur le net à ce jour ? Tous les praticiens sérieux et désintéressés par les étoiles de façade ont supprimé toutes références à ce pseudo guide. Certains s’accrochent désespérément à leurs pseudo gratifications. Ils trompent ainsi délibérément les clients. Certains dont la mauvaise foi n’est plus à prouver vont jusqu’à dire qu’ils attendent une enquête officielle ( De qui? Je m’interroge !)… Quoi qu’il en soit , il n’y a pas trente-six solutions : soit il y a une dégradation du Q.I., soit c’est une volonté délibérée de s’accrocher à un prix, à un classement bidon pour mieux tromper les clients. Personne ne peut prétendre aujourd’hui que Mme Y ou Monsieur Z soit la meilleure ou le meilleur voyant de France et de NAVARRE.

Je remercie l’INAD de m’avoir permis de publier cette mise au point car, en prenant ma défense dans l’intérêt de la profession, cette association et son président ont subi, injustement, la malveillance et toute une avalanche de propos orduriers… L’article que j’ai publié sur mon site web tend à mettre en évidence l’absurdité de la démarche d’un tel guide, et pourquoi j’ai refusé de voir apparaître mon nom… Les résultats des investigations de l’INAD et de la journaliste Buffy Brinogène : http://inad.info/blog/presse-ecrite/603-maximilien-de-l-esbrouffe-et-les , ont conforté ma position.

Quel est l’état des lieux relatif à l’attitude de « ces gens » de New York à ce jour ? Ils s’obstinent au mépris de la morale, de tout sens éthique, des lois et des règles régissant le droit de la presse française. Comment qualifier des gens qui ne respectent pas les institutions, le droit de la presse, la morale et l’éthique ? Ces gens là ne me connaissent pas, ne connaissent pas l’INAD, mais, apparemment, des individus aigris, mal dans leur peau, leur sert de complices. Dans tous les cas, il est évident qu’ils se décrédibilisent eux-mêmes tout en faisant preuve d’une absence totale de conscience professionnelle. Leur but : une vengeance mesquine, parce qu’ils ne peuvent plus berner les clients, grâce à l’INAD.
Ne pas agir, ne pas réagir relève de la liberté et de la responsabilité morale de chacun. Les praticiens sont maintenant parfaitement au fait de la situation, PERSONNE ne peut dire qu’il ne savait pas. Que faire d’autre ? Dire stop, ne pas prendre les clients pour des gogos, ne pas mettre en avant un classement mensonger d’un guide qui n’a que le nom.

En pareilles circonstances, il est impossible de rester impassible devant une telle ignominie, j’ai donc déposé plainte, avec constitution de partie civile, contre les auteurs de ce pseudo guide et contre X.

David Mocq

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