Voyance, un moyen de divertissement et de loisirs, selon WENGO

Nous avons relevé , sans réelle surprise, que le règlement intérieur et la Charte de la société Wengo ressemblent à s’y méprendre à celle proposée par l’INAD à l’ensemble de la profession http://www.inad-professionnels.fr/arts-divinatoires-voyance-charte-morale.php . En effet des modifications minimes ont été apportées à ce ‘’ règlement’’ pour éviter l’accusation de plagiat ou de parasitisme. Il aurait été plus opportun pour la société WENGO de conserver en l’état la Charte Morale et Professionnelle de l’INAD en faisant référence à cet organisme. D’autant plus que ladite Charte a été préalablement soumise pour avis, avant sa publication, au Ministère de l’Economie et des Finances : Secrétariat d’État des Petites et Moyennes Entreprises. Mais là n’est vraiment pas le problème, la société Wengo, sous le couvert de la Charte de l’INAD , plagiée , parasitée , tente de faire croire que la pratique de la divination est un moyen de divertissement et de loisirs… c’est scandaleux !!

L’INAD conteste avec force qu’une consultation de voyance soit un jeu de divertissement ou de loisirs…cette affirmation de la société WENGO n’est faite que pour minimiser sa responsabilité de fournisseur , entre autres, d’accès aux voyants qu’elle emploie, semble-t-il, dans des conditions léonines… nous rappelons qu’une consultation de voyance est un acte éminemment important, sérieux, et loin d’être anodin , d’autant plus que les clients de cette société attendent une réponse à des inquiétudes, à des problèmes graves et personnels . Parler de divertissements est assurément irresponsable et révélateur des agissements des affairistes infiltrés dans le monde de la voyance…la définition du rôle de la voyance par Wengo doit interpeller tant les praticiens que les consommateurs qui font appel à cette société .

Il existe des divertissements beaucoup moins onéreux et qui ne mettent pas en péril la santé mentale et financière des passionnés des arts divinatoires.

Publié
comments powered by Disqus